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 Je vais vous mordres à mort

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Hibari Kyôya
Hibari Kyôya


Messages : 1
Munnies : 20
Date d'inscription : 10/12/2011
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MessageSujet: Je vais vous mordres à mort   Je vais vous mordres à mort EmptyDim 11 Déc - 16:07

Hibari Kyôya
Je vais vous mordre à mort

Hibari Kyôya
IdentitéPartie personnage
Âge : 25 ans
Monde d'origine : Reborn
Monde actuel : En Voyage
Groupe :Heartless

Et vous ?
Pseudo:Hibari Kyôya
Âge :16 ans
Une suggestion pour le forum ? :Aucune
Qu'est-ce qui vous a amené ici ? : Belphegore
Et le code ? : {RAPUNZELED}


Classe Principale : Combatant
Classe Secondaire :Defensseur/Invocateur
Arme : 2 tonfas en acier

Décrivez la nous ~

Miroir, mon beau miroir

Taille :1m68
Poids :59kg
Yeux :Noir mais peu clair
Cheveux :Noirs Sombres
Corpulence : ni tros gros ni tros maigre
Signe Particulier :Yeux menancant
Style Vestimentaire :Sobre et dénuée de toute originalité, l'apparence d'Hibari a le bénéfice de vous glacer le sang du premier regard, peu importe sur quoi il est porté


Je voudrais déjà être roi

Qualités :Aucune .
Défauts : Il n'aime personne.
Secret :Aucun
Ambition :Devenir très fort
Rêve :Aucun
Gouts :Il aime les choses sobres.


J'aimerais être comme vous

Qu'est-ce qu'un Heartless pour vous ? : Petit Démon
Et un Heartful ? : J'en sais rien
Les Princesses de Cœur sont-elles importantes ? :Biensûr
Et qu'est-ce que serait un Cœur Scellé ? :Je sais pas
Connaissez vous les Étoiles ? :Non
Adhérez vous à la mentalité des Casse-Noisettes ? :Non
Si vous deviez choisir l'un d'eux, lequel suivriez-vous ? :Personne


Il était une fois
« Peur... c'est un mot qui n'existe pas. Ou plutôt, pas encore. L'enfant qui naît n'a pas encore la notion de la peur. La véritable Peur avec un grand P. Il ne peut s'empêcher de se croire éternel, c'est pourquoi la peur n'est pour lui qu'une chimère. Quelle merveille de ne pas connaître la peur ; et pourtant, elle guette chaque être qui peuple ce monde. Au fond, seule une poignée de personnes l'ont connue. La peur, qu'est-ce que c'est réellement ? Je ne sais pas. Mon nom est Hibari Kyoya. Je suis né le jour des enfants de la Golden Week au Japon, plus exactement un 5 mai. C'est tout, je n'ai rien à ajouter sur mon identité. Je suis vivant, je ne sais pas pourquoi, je ne connais pas non plus la cause de mon existence, mais au final : peu importe. Je ne veux pas le savoir. Pour moi, la peur est une chose qui ne se décrit pas. Elle est immatérielle, ce n'est rien de plus qu'une sensation qui parcourt le corps d'une personne dans une situation effrayante. Mais qu'est-ce qu'une sensation, alors ? Je ne connais aucune définition suffisamment claire pour décrire tous ces mots que l'on utilise, et pour que je comprenne enfin ce qui me trotte dans la tête sans arrêt. En fait, je ne veux pas comprendre, cela m'est royalement égal ; mais cette question me hante. Elle me hante comme l'image de la Mort. Je ne sais pas à quoi elle ressemble. Peut-être une femme, peut-être un homme, peut-être vieille, peut-être éternellement jeune. Qui sait ? Je l'imagine juste avec cette ombre et cette faux qui sont très symboliques dans le commun des mortels. Qu'elle existe ou non, je m'en contrefiche. Si elle me trouve un jour, alors tant pis. Je sais que si je vois la Mort en face, je n'aurai pas peur. La peur n'est pas une fantaisie, mais rares sont ceux qui connaissent la Vraie Peur. Nous avons peur de l'inconnu, de ce qui est étrange, anormal. Comment peut-on avoir peur d'une chose à laquelle on s'attend ? Peut-être que je réfléchis trop sur la question...
Je suis né comme tous les enfants dans ce monde. Non, je ne suis pas une aberration, je suis humain et je respire le même air que tous les herbivores qui m'entourent. Malgré ça, depuis toujours, les autres me dégoûtent. La constitution-même de l'Homme me répugne. Je fais partie de la race humaine, mais je ne la supporte pas. Il m'est plutôt difficile de me rentrer dans la tête que sans cette fine couche de peau blanche, je ne suis qu'une chose difforme créée à partir de matière cellulaire. Sans parler de ce liquide rouge étrange qui circule dans mes veines ; pour moi, il n'a pas de raison d'être là. Les autres en ont aussi. Je ne sais pas pourquoi, mais le sang m'attire. Peut-être est-ce à cause de cet arôme mêlant l'odeur du sel et du fer... je ne sais pas. J'ai un mal terrible à comprendre le monde et le pourquoi du comment de ce dernier. Je sais juste que je suis l'obscur. Je suis le mal, l'impure. L'homme est né pour rechercher le Paradis, moi je ne le rechercherai pas ; je suis destiné à l'Enfer. Mais je n'ai pas peur. Je sais que j'irai là-bas, et que l'on me rendra toute la souffrance que j'aurai pu infliger durant mon existence, mais je n'ai qu'une chose à dire... peu importe.
Mon enfance ? Je l'ai passée dans le noir et dans le silence. Je croyais avoir perdu deux de mes cinq sens, l'ouïe et la vue. Aucun être humain ne peut supporter de vivre dans de telles conditions, et je ne fis pas office d'exception. Enfermé entre quatre murs, sans lumière qui parvienne à mes yeux et sans son qui parvienne à mes tympans... un vide total. Mon esprit était plongé dans les ténèbres et je ne pensais plus à rien. Tout ce temps que j'ai passé enfermé dans cette pièce sombre et froide... je ne sais pas quand cela a commencé, ni combien de temps cela a duré. J'avais perdu la notion du temps. Je n'osais même plus bouger le petit doigt. La personne qui m'a enfermé dans cette pièce vide, il m'est impossible de me souvenir de son visage. Je n'ai de toute façon pas envie de m'en souvenir. À vrai dire, je n'avais aucune haine envers cet homme qui n'était autre que mon père. Je me fichais ouvertement de son existence. Mais j'étais en colère. Je ne comprenais pas pourquoi j'étais enfermé dans cette salle. Peut-être parce que le seul fait que je vive était une atteinte à la dignité humaine ? Qui sait. Quoiqu'il en soit, pour moi, ça ne change absolument rien. J'étais mal nourri, malade, j'avais l'impression de ne pas avoir ma place dans ce monde. Je ne l'avais vraisemblablement pas. Je n'aurais pas dû naître, mon existence-même est une abomination. Je ne comprenais pas pourquoi, mais je ne cherchais pas à comprendre. Durant mon enfance, ce n'est pas de mon plein gré que j'ai dû vivre dans la solitude, je n'avais pas le choix. J'étais obligé de passer mes journées enfermé dans ma prison glaciale, et c'est de cette façon que mon cœur s'est refroidi. Dès ma naissance, je n'étais déjà pas normal, mais le fait que je n'ai pas reçu d'éducation de la part de mes parents n'a fait qu'aggraver mon cas. En effet, au bout de deux ans à être traité de la sorte, je n'ai plus accepté de me laisser marcher sur les pieds ; sans m'arrêter, je cognais dans les murs de la pièce froide qui me servait d'habitat fixe. Je ne voyais rien, mais je sentais la douleur me ronger, ainsi que l'odeur alléchante de mon sang qui coulait au sol au compte goutte. Ainsi, je me sentais vivant. Vivre dans ce tout petit espace sans lumière m'avait rendu plus robuste, plus fort dans ma tête. C'est à partir de là que j'avais ma réponse concernant la véritable peur. Les cinq années de ma vie que j'ai passé dans cette cave furent effroyables. Jamais je n'aurais pensé connaître un jour la peur en elle-même. La souffrance, l'impatience, la faim, tout cela mêlé au fait que je ne savais pas où j'étais ni pourquoi j'étais là... cela m'a fait peur. Terriblement peur. J'aurais dû mourir, mais je ne suis pas mort. La raison pour laquelle je suis froid et distant est certainement que je n'ai jamais reçu d'amour. Il paraît que l'on ne peut pas vivre sans ça, mais moi je n'en suis pas tout à fait convaincu. Si c'était vrai, je serais déjà mort depuis longtemps. Un solitaire est fait pour ne pas recevoir d'amour. Et je ne connaissais pas, de toute façon, l'intérêt de ce sentiment si fort que les gens recherchent à tout prix. C'est ainsi que ma vie a démarré. Mon père disparut un jour, sans laisser de trace. Je ne l'ai su qu'après m'être rendu compte que la porte de la cave n'était pas fermée à clé. M'avait-il ouvert la porte pour me rendre ce qu'il m'a volé ? Peut-être. Je ne sais pas, je n'ai pas cherché à savoir. Si c'était de la pitié, mon ego avait prit un sacré coup. Mais tant pis, l'heure de ma mort n'était pas pour aujourd'hui et je ne comptais pas continuer de moisir dans cette cave.
Je redécouvris l'ouïe et la vue, ce que je croyais avoir perdu pour l'éternité. La première chose que j'entendis fut le chant d'une alouette. Ce son si agréable m'apaisa. J'étais couvert de mon sang, mes vêtements étaient déchirés et les puissants rayons du soleil brûlaient mes cheveux et ma peau criblée de blessures... malgré tout cela, je me sentais incroyablement bien. La douce sensation qui me parcourait m'était totalement inconnue et j'avais l'impression de découvrir un nouveau monde. Un vaste monde qui était le strict opposé de celui dans lequel j'ai vécu pendant des années. Le nom de cet endroit... il restera gravé dans mon cœur pour l'éternité. C'était la ville de Namimori. Pour moi, elle représente tout. Ce jour-là, je me suis promis de la protéger quoiqu'il arrive. Je n'avais pas de raison de vivre, mais je l'ai enfin trouvée. Vivre pour protéger cette ville que je portais sur mon cœur, telle était la raison de mon existence. »
“ Pour être ambitieux, il faut haïr ceux qui se mettent en travers de notre chemin. ”
Gil Bluteau, Meurent les Alouettes.

« Ainsi fut mon enfance. Une véritable horreur, quelque chose que personne ne voudrait connaître... mais une fois que cela fut passé, ça ne me faisait ni chaud ni froid d'y repenser, comme si vivre dans ces conditions avait été d'une grande banalité. De toute façon, plus rien n'était en mesure de m'atteindre, moi qui avais déjà une expérience grandiose en matière de souffrance. Mais la souffrance qui pourrait m'être infligée à présent était quasiment inexistante. En général, ce n'était pas moi qui souffrais, c'était ceux qui s'approchaient trop de moi. Éternelle détestation de mon entourage... mais même après tout ce temps, je n'aimais toujours pas la compagnie humaine et ça n'allait pas changer avant des siècles certainement. Tout cela pour dire que jamais personne ne pourrait s'entendre avec moi. Je n'aimais que ma ville, mon foyer, que je chérissais par-dessus tout. Bien que je sois associable sur toute la ligne, on me remarqua très rapidement. En effet, l'hôpital eut énormément de blessés à soigner et les chiffres ne faisaient qu'augmenter. À chaque fois qu'un nouveau blessé arrivait : il était coupable d'une dégradation quelconque. Comment se faisait-il que quelqu'un s'amuse à tabasser tous ceux qui osent faire quelque chose qui soit... hors règlementaire ? C'est de cette façon que je me fis connaître et respecter pour ainsi dire. Offusqué que l'on trouble l'ordre de la ville, je n'hésitais jamais à semer la terreur sur mon chemin en usant et abusant de violence gratuite pour dérouiller les grandes gueules de Namimori. Personne n'osa jamais s'opposer à moi, ainsi le nombre de blessés à l'hôpital diminua. Les gens préféraient se tenir à carreaux. Malgré tout, il y aura encore et toujours des herbivores dans cette ville que je me devrai de mordre à mort... j'ai l'image de quelqu'un de droit, mais au final, je ne le suis pas du tout. La diplomatie est pour moi, le moyen le plus stupide de régler les problèmes. Et ça, les habitants de Namimori l'ont vite compris.
Le jour fatidique arriva. Lequel ? Celui de ma scolarisation au collège de Namimori. C'est à partir de là que ma véritable histoire commence. Je dirai que je n'ai pas eut une scolarisation tout à fait normale, à vrai dire on peut difficilement dire que j'étais un élève. Je l'étais en théorie, mais je ne me suis pas contenté de faire comme tout le monde comme un brave garçon bien docile. Non, rechignais à l'idée d'être au même niveau que ces herbivores. Nous n'avions pas les mêmes valeurs, et je comptais bien le leur faire comprendre. Très rapidement, je suis devenu le monstre du placard à balais, pour ensuite grimper les échelons jusqu'à devenir le Diable en personne qui régnait par la terreur sur tout le collège, alors que cela ne faisait même pas encore un an que j'y étais. Même les plus âgés que moi se repliaient en me voyant, et j'étais plutôt satisfait du travail. Concernant les cours, je ne saurai dire combien j'en ai séché... mais je n'ai jamais eut besoin d'y assister pour m'en sortir. Même le principal n'osa jamais me contrarier, alors que je n'étais qu'à la modeste place d'élève de première année... mais c'était parfait. Je voulais être craint et respecté, peu importe le procédé employé, et j'étais déjà allé trop loin dans mon dessein. Je passais la majorité de mon temps au collège, perché sur son toit, et j'allais jusqu'à y passer mes nuits. La brise agréable de Namimori plongée dans la froideur de la nuit me berçait. Je n'avais nulle part où aller, alors j'aimais autant rester dans mon antre en permanence. Pour moi, tout allait pour le mieux. Pour les autres, c'était le contraire. Je n'aimais personne et personne ne m'aimait, cela me convenait. De toute façon, la notion d'amour n'existe pas dans mon lexique. Les années passaient tranquillement et j'obtins le titre de Président du Comité Disciplinaire du collège de Namimori, ce qui ne me déplaisait pas. Mon seul nom faisait trembler les honnêtes gens, et il n'y en avait pas un seul qui osait me regarder de haut... tout le monde me laissait agir à ma guise, et la plupart du temps, ceux qui se mettaient en travers de mon chemin terminaient sur un brancard. Je pris goût à des activités sordides qui visaient à me permettre de tabasser le premier qui me tombait sous la main, comme par exemple mon jeu qui consistait à ne pas me réveiller sous peine de se faire mordre à mort. Même l'élément déclencheur du basculement de ma vie en fut une des nombreuses victimes... son nom était Sawada Tsunayoshi, plus communément appelé « Tsunaze » pour son talent à être un véritable boulet par excellence. En effet... ce jeune garçon qui n'était, au départ, qu'un insecte à écraser, se révéla en fait être quelqu'un d'assez particulier. En fait, ce n'était pas exactement lui qui m'intéressait, mais plutôt cet étrange bébé dénommé Reborn qui l'accompagnait. Qui était-il précisément ? Je ne savais pas et je ne voulais pas le savoir. Je sentais qu'il était fort, et mon seul objectif dans cette histoire était de me battre contre lui. La recherche de gens puissants à massacrer... c'était devenu mon moteur.
Ce bébé ne me laissa pas me battre contre lui, il fut à chaque fois en mesure de trouver un moyen de m'échapper. Mais peu importe. Je savais que j'arriverai bien à le coincer un jour. En parlant de personne puissante... mon précieux collège fut plongé dans la terreur le jour où l'un de mes abrutis de subordonnés se fit agresser en pleine nuit par quelqu'un qui semblait en vouloir au comité disciplinaire. Les agressions se succédèrent, et l'assaillant commençait à s'en prendre aussi aux élèves. C'était inadmissible. Je ne cherchai pas à comprendre et directement je partis à la recherche de cet emmerdeur pour le corriger comme il le fallait. Rokudo Mukuro... son nom sonne encore comme le glas de la défaite à mon oreille... d'entrée de jeu, je me suis retrouvé à genoux, asservi... je déteste les fleurs de cerisier. Mais je n'aurais jamais imaginé que je pourrais un jour les détester à ce point. Une simple piqûre de moustique avait suffit à me rendre totalement inoffensif face à Mukuro. Plus de force, plus de volonté... ces fleurs de cerisier n'étaient que des illusions, mais elles m'ont entravé et je ne l'ai pas supporté. Il ne s'agit pas du fait que je sois un mauvais perdant ...

... Non, je suis un gagnant.

Je l'ai décidé, il ne s'agissait pas d'une défaite. Peu importe dans combien de temps ce sera, peu importe la manière dont je le ferai, je le mordrai à mort. À partir de là, c'était officiel... je détestais catégoriquement les illusionnistes, tous autant qu'ils sont. »

à suivre.

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MessageSujet: Re: Je vais vous mordres à mort   Je vais vous mordres à mort EmptyLun 12 Déc - 21:07

Hello!

Donc bienvenue sur The Travelers et j'espère que tu t'amuseras parmi nous

Donc voilà, j'ai quelques petits soucis... (Voici monsieur ronchon qui arrive - jamais content) mais il y a certains petits points que j'aimerais néanmoins éclaircir. Tout d'abord, quel est le monde de Reborn? Il n'apparaît - à mon humble souvenir - dans aucun Disney ni dans aucun Final Fantasy ou associé, donc c'est assez problématique étant donné que toute l'histoire tourne malgré tout autour de Kingdom Hearts, il faudrait que les personnages soient un peu plus en rapport avec le forum.

Bon, je viens de me renseigner un peu (Google, mon meilleur ami) et Hibari est un personnage d'un manga autre, sans rapport avec l'histoire de Kingdom Hearts et de plus, ta fiche de présentation a déjà été postée ailleurs. Enfin, le fait est que dans tous les cas, l'histoire de ton personnage ne convient pas vraiment à celle du forum, pour ne pas dire qu'elle est en désaccord avec celle-ci.

Mais bref, pour faire court, ça serait bien que tu construises un personnage qui n'existe nulle part ailleurs que dans les mondes de Disney / Kingdom Hearts / Final Fantasy ou de ton imagination (bien que ça ne t'empêche pas d'utiliser un avatar d'un mec qui vient d'un anime quelconque). Enfin, c'est un peu long comme commentaire, mais c'est absolument pas méchant parce que on aimerait bien que tu restes parmi nous.

Si tu as d'éventuelles questions, n'hésite surtout pas à contacter l'équipe administrative

Edit Raiponce ; Quinto a tout dit sauf.... Tu peux mettre un avatar à la bonne taiiiiiille ? /BUS/
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MessageSujet: Re: Je vais vous mordres à mort   Je vais vous mordres à mort EmptyMar 3 Jan - 9:37

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